Adji Dieye : finaliste du prix Maxxi Bvlgari : Adji Dieye
Current event
Présentation
L’artiste sénégalaise et italienne Adji Dieye fait partie des trois finalistes du Prix Maxxi Bvlgari 2026.
Née à Milan en 1991, Adji Dieye est une artiste multidisciplinaire vivant et travaillant entre Milan et Dakar. Sa recherche explore la manière dont les notions de représentation et d’identité façonnent les structures sociopolitiques du monde contemporain. À travers l’analyse de la publicité, de l’architecture et des archives nationales, Dieye interroge les esthétiques qui définissent les idées d’autodétermination et d’identité collective.
La photographie occupe une place centrale dans sa pratique, à la fois comme médium polyvalent et comme outil critique pour questionner les processus de représentation et d’altérisation entre les sociétés occidentales et non occidentales.
Née à Milan en 1991, Adji Dieye est une artiste multidisciplinaire vivant et travaillant entre Milan et Dakar. Sa recherche explore la manière dont les notions de représentation et d’identité façonnent les structures sociopolitiques du monde contemporain. À travers l’analyse de la publicité, de l’architecture et des archives nationales, Dieye interroge les esthétiques qui définissent les idées d’autodétermination et d’identité collective.
La photographie occupe une place centrale dans sa pratique, à la fois comme médium polyvalent et comme outil critique pour questionner les processus de représentation et d’altérisation entre les sociétés occidentales et non occidentales.
Selon le jury :
« Son travail brouille les frontières entre documentaire et invention, invitant le spectateur à adopter une approche active et responsable de l’histoire de son pays, le Sénégal. D’une part, elle aborde des enjeux politiques tels que la décolonisation à travers des murmures superposés faits d’événements exclus ou oubliés par l’histoire. D’autre part, la photographie devient un outil au sein d’un réseau plus large de pratiques qui, ensemble, articulent des paysages, des mémoires et des silences postcoloniaux. »
