Porous Grounds, Sacred Codes @ Marres, House for Contemporary Culture: Eva Diallo
Forthcoming event
Présentation
Marres, House for Contemporary Culture, Capucijnenstraat 98, 6211 RT Maastricht, Pays-Bas
https://marres.org/en/program/porous-grounds-sacred-codes/
Porous Grounds, Sacred Codes est un projet d’exposition d’envergure qui propose un voyage puissant et inspirant à travers les notions de collectivité, de diaspora et d’identité culturelle. L’exposition ouvrira ses portes le 20 décembre 2025 et investira l’ensemble de la maison de Marres.
Développée en étroite collaboration avec le prestigieux institut d’art sénégalais RAW Material Company (Dakar), l’exposition bénéficie de l’implication directe de deux commissaires issus de son équipe : Haja Fanta et Filly Gueye. Par ailleurs, RAW assure l’organisation du programme de résidence préparatoire en ligne et contribue à l’élaboration d’un programme public ambitieux, rythmé par des échanges approfondis et la participation de spécialistes.
Processus collectif
Sept artistes aux racines ouest-africaines — Yacine Tilala Fall, Selly Raby Kane, Maguette Dieng, Ican Ramageli, Hamedine Kane, Eva Diallo et Babacar « Doli » Traoré — conçoivent ensemble une installation totale et multisensorielle, mêlant sculpture, son, textile, vidéo et performance.
Si chaque artiste conserve une signature singulière, le processus collectif de création constitue le cœur même du projet. L’exposition interroge ainsi ce que signifie construire un univers artistique à plusieurs, dans lequel chaque histoire, chaque regard et chaque sensibilité trouvent leur place.
Si chaque artiste conserve une signature singulière, le processus collectif de création constitue le cœur même du projet. L’exposition interroge ainsi ce que signifie construire un univers artistique à plusieurs, dans lequel chaque histoire, chaque regard et chaque sensibilité trouvent leur place.
Droit à l’opacité
S’inspirant des pensées d’Anne Dufourmantelle et d’Édouard Glissant, l’exposition explore également les codes qui demeurent cachés et la notion de « droit à l’opacité ». Cultiver les zones silencieuses de la culture participe à la préservation des identités, tout en constituant un geste de respect et une source d’intimité.
